Oui, cher Jalel, crimes des hommes d'un système qui sentait l'histoire lui échapper et qui allait continuer à sévir même après avoir officiellement perdu la main. Encore 7 ans plus tard, pourtant bien après l'indépendance du Maroc, ils assassinait plus que probablement Ben Barka.
Voici ma contribution à la commémoration de ce tragique événement:
Farhat Hached
Quand le bourreau tue, La victime ne peut que renaître. C’est l’équation du phénix, C’est le cri juste du coquelicot Qui de son poing de feu Dévore la nuit et libère les cieux. Hached, tu as vaincu l’ogre odieux Car le chant de ton sang radieux Bat de vie et de lumière, Dans les champs de nos veines, De nos monts jusqu’à nos plaines, Dans le cœur d’un peuple fier, Qui jamais ne désespère, Aujourd’hui comme hier, Ce peuple que tu as tant aimé Comme toi, ne s’agenouillera jamais !
Oui, les horreurs du colonialisme... Et malheureusement cela n'a jamais de fin, car l'intervention de l'Occident hier en Libye et peut-être demain en Syrie, n'est que du colonialisme déguisé sous de bons sentiments humanitaires.
Oui, cher Jalel, crimes des hommes d'un système qui sentait l'histoire lui échapper et qui allait continuer à sévir même après avoir officiellement perdu la main. Encore 7 ans plus tard, pourtant bien après l'indépendance du Maroc, ils assassinait plus que probablement Ben Barka.
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RépondreSupprimerVoici ma contribution à la commémoration de ce tragique événement:
Farhat Hached
Quand le bourreau tue,
La victime ne peut que renaître.
C’est l’équation du phénix,
C’est le cri juste du coquelicot
Qui de son poing de feu
Dévore la nuit et libère les cieux.
Hached, tu as vaincu l’ogre odieux
Car le chant de ton sang radieux
Bat de vie et de lumière,
Dans les champs de nos veines,
De nos monts jusqu’à nos plaines,
Dans le cœur d’un peuple fier,
Qui jamais ne désespère,
Aujourd’hui comme hier,
Ce peuple que tu as tant aimé
Comme toi, ne s’agenouillera jamais !
Oui, les horreurs du colonialisme... Et malheureusement cela n'a jamais de fin, car l'intervention de l'Occident hier en Libye et peut-être demain en Syrie, n'est que du colonialisme déguisé sous de bons sentiments humanitaires.
RépondreSupprimerPersonne ne pouvait imaginer que, soixante après sa mort, sa mémoire devienne l'objet d'une sordide et navrante dispute politicienne.
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