Anise Koltz, quel bonheur de la rencontrer un jour! J’ai toujours vécu sa poésie comme un souffle qui ne meurt pas en l’homme. "Chaque jour augmente l'épaisseur du temps. La solitude crée en moi des sensations déroutantes. L'esprit traqué par la peur s'évade dans le passé. Je ressuscite R. constamment et l'emporte dans mes périples à travers le temps ". ( Lune noircie) " J'erre comme un point d'interrogation / un verbe sans sujet ". " Mourrai-je de ma mort / ou de la tienne " Et puis ce véritable "Ailleurs des mots" : "J’aime l’homme au dos vaste comme une steppe … "
3 commentaires:
Oui, cher Jalel, splendide, et pas que celui-là !
Et quelles nouvelles de Liège ?
Que de belles rencontres, cher Giulio. Je reviendrai dessus prochainement. Il y avait, entre autres, Lambert Schlechter et Anise Kolz
Amitiés
Anise Koltz, quel bonheur de la rencontrer un jour!
J’ai toujours vécu sa poésie comme un souffle qui ne meurt pas en l’homme.
"Chaque jour augmente l'épaisseur du temps. La solitude crée en moi des sensations déroutantes. L'esprit traqué par la peur s'évade dans le passé. Je ressuscite R. constamment et l'emporte dans mes périples à travers le temps ". ( Lune noircie)
" J'erre comme un point d'interrogation / un verbe sans sujet ".
" Mourrai-je de ma mort / ou de la tienne "
Et puis ce véritable "Ailleurs des mots" :
"J’aime l’homme
au dos vaste
comme une steppe … "
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