lundi 18 février 2013

Cette dame fait partie de l'élite chargée de rédiger la constitution du pays

2 commentaires:

Halagu a dit…

Aujourd'hui personne ne peut nier le fait qu'il ne peut y avoir une coexistence possible entre les islamistes et la démocratie. Quand je regarde les journaux égyptiens, je me rends compte que cette vérité est étalée au grand jour et les laïcs appellent un chat un chat. En Tunisie, on fait un détour et on use, au mieux, d'euphémismes pour rester dans le politiquement correct et on prend soin de ménager l'obscurantisme. Pendant ce temps les islamistes s'installent pour durer, détruisent l'espoir du vivre ensemble et l'espoir d'une vie quotidienne jubilatoire... C'est le début d'un long processus qui va aboutir aux ténèbres. Sauf si les intellectuels tunisiens changent de langage et dénoncent clairement la dictature religieuse et les vendeurs de religion.

Jalel El Gharbi a dit…

Halagu. Il y a en Tunisie comme un consensus : éviter la guerre civile. Il faut en tenir compte. La lutte prendra du temps, mais il faut espérer qu'elle ne dégénèrera pas.