lundi 21 septembre 2015

Jours tranquilles à Tunis. Jalila Dechache reçoit Stephanie Wenger.



1 commentaire:

Jawhar a dit…

Ce sont les politiques qui déforment le sens du vécu paisible des hommes. Même en temps de guerre, l’homme continue à vaquer à ses occupations, en essayant de surmonter les malheurs que celle-ci engendre. Je pense que le bonheur est la première vocation de l’homme, et il se le procure souvent en simplifiant les moyens de son acquisition.
"Jours tranquilles à Tunis" devrai(en)t être du pur bonheur à Tunis. J’ai hâte de le lire.