Dire que maintenant vous avez la joie de recevoir et d'offrir des vidéos et de l'audio... maintenant... Cette chanson -que je ne connaissais pas- est magnifique, la mise en images, aussi. De Georges Chelon je ne connaissais que "Morne saison... Elle est partie ma paysanne... avant le temps de la moisson...". Les poètes, oui, les poètes...
V : pour venir E : pour (s) émerveiller N : pour naître T : pour ne jamais tomber
L’infinitif pour commencer la conjugaison :
je viens tu nais, il ou elle (s)émerveille nous fêtons la métamorphose des poètes et des vents vous récitez les mots des titans Et Anémone repart au gré de son Zéphyr.
Je me joins à vous pour rendre hommage à Arthur Rimbaud.Voici le poème que je lui ai offert, dans mon recueil "Arpèges sur les ailes de mes ans":
A Rimbaud
Arthur, Blanc Abyssinien, Tes voyelles étouffant de lumière, Embrasent ma solitude Et éclairent ma tristesse Qui râle sous le poids muet des mots inutiles. Tu m’offris la couleur Et rendis aux étoiles leur sève juvénile. Inchoative ivresse Créant l’univers De mystères, De questions nues. Tu me reviens, ramage de baobab, En transes de cithare, Sur les flots scintillants de l’Oued Joumine ! Arthur, Jeune âme Mordant les éclairs de l’impossible !
4 commentaires:
Dire que maintenant vous avez la joie de recevoir et d'offrir des vidéos et de l'audio... maintenant...
Cette chanson -que je ne connaissais pas- est magnifique, la mise en images, aussi.
De Georges Chelon je ne connaissais que "Morne saison... Elle est partie ma paysanne... avant le temps de la moisson...".
Les poètes, oui, les poètes...
La voici cette belle chanson : "morte saison" :
http://www.youtube.com/watch?v=OYq9aPsbomw&feature=related
Le vent !
V : pour venir
E : pour (s) émerveiller
N : pour naître
T : pour ne jamais tomber
L’infinitif pour commencer la conjugaison :
je viens
tu nais,
il ou elle (s)émerveille
nous fêtons la métamorphose des poètes et des vents
vous récitez les mots des titans
Et Anémone repart au gré de son Zéphyr.
Je me joins à vous pour rendre hommage à Arthur Rimbaud.Voici le poème que je lui ai offert, dans mon recueil "Arpèges sur les ailes de mes ans":
A Rimbaud
Arthur,
Blanc Abyssinien,
Tes voyelles étouffant de lumière,
Embrasent ma solitude
Et éclairent ma tristesse
Qui râle sous le poids muet des mots inutiles.
Tu m’offris la couleur
Et rendis aux étoiles leur sève juvénile.
Inchoative ivresse
Créant l’univers
De mystères,
De questions nues.
Tu me reviens, ramage de baobab,
En transes de cithare,
Sur les flots scintillants de l’Oued Joumine !
Arthur,
Jeune âme
Mordant les éclairs de l’impossible !
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