Marie Ketline Adodo : PÈLERINS DU BONHEUR
Préface de Jalel El Gharbi; collection Accent tonique-Poésie.
"Voici une somme de
poèmes-pérégrinations qui font de la poétesse et de son lecteur des Pélerins du
Bonheur. Dans cette contrée entre ciel et terre, on peut surprendre à chaque
page comme une main tendue vers tous les surgissements, vers tous les murmures,
vers toutes les épiphanies de l'être... Il semble que les pérégrinations aient
une nette prédilection pour les escales : celles où l'on découvre les
succulences africaines que sont les fruits et les mots créoles, la passion pour
Carthage et l'appel de Rome." Extrait de la préface de Jalel El
Gharbi
ISBN : 978-2-343-02342-7 • décembre 2013 • 122 pages
Cet ouvrage peut être commandé sur le site de l'éditeur :
http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=42093
3 commentaires:
Mais sans doute pas seulement chez l'éditeur, cher Jalel. L'Harmattant est très présent en libraire... Bon, peut-être un peu moins pour la poésie, mais tout libraire peut le commander.
Tiens, voilà ce que j'ai trouvé dans un journal gabonais version en ligne) :
Il y a tout d’abord Marie Ketline
Adodo, technicienne de la
communication mais «poète». Et pas
n’importe laquelle. Elle est même
une experte pour avoir écrit Le
Planteur de virgules, Guide pratique
pour l’atelier d’écriture poétique. Un
ouvrage didactique sur l’enseignement
de la poésie, très recherché mais
disparu des rayons des bibliothèques et…
des librairies.
Il y a également la très fouillée Etude
sur la poésie, la tradition orale et la
littérature au Togo. En tant que
poète, elle est auteure de Au clair de
mon âme (Ed. HAHO, Lomé, 1998,
Préface de Stanislas Spero Adotevi)
et Entre toutes les femmes (Ed.
Nouvelle Pléiade, Paris, 1999,
Préface de Vital Heurtebize). C’est
dire que la très sémillante Ketline
Adodo est comme un poisson dans
l’eau quand elle parle de la poésie togolaise.
Effectivement, cher Giulio, on peut trouver ce livre en librairie
Amitiés
Les "Pèlerins du bonheur", quel heureux titre !
Ce livre doit ruisseler de mots succulents et graves. Il n’aurait pas été préfacé par Jalel El Gharbi, autrement.
Je me l’acquerrai avec joie en me rendant bientôt à Paris.
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