jeudi 17 mai 2012

هويامال

C'est par le chant que les chameliers d'Arabie donnaient du courage à leurs montures. Et c'est également également grâce au chant que les marins d'Arabie mettaient du coeur à l'ouvrage.
Dans les deux contextes, ce que l'on chante c'est toujours les amours contrariées, la distance.


1 commentaire:

Djawhar a dit…

Une douce mélancolie traverse ce chant où la voix du chanteur se confond d’une manière impressionnante avec un vague écho du ressac.
أوه يا مال ما أخطي أنا خطاك ماأخطي أنا خطاك حبك بالضمير انزاح--والسبب جرحنبقلبي ما برا وانزاح أنسيتني ليش
" Je ne suivrai pas tes pas, Je ne suivrai pas tes pas. Ton amour a quitté ma conscience (ou mon être). La raison en est que la blessure de mon cœur n’a ni guéri ni disparu. Pourquoi m’as-tu oublié ?"