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lundi 3 décembre 2012
Des passantes et des passants...
En dépit de tout, rien ne vaut le bonheur de tenir ces Passantes...
200 pages, Hardcover, 155 x 230 mmISBN 978-2-87967-182-6Commander en effectuant un virement de 32 EUR (pas de frais d'exp. en UE pour ce montant) au compte de l'éditeur auprès des Comptes chèques postaux Luxembourg sur le n° IBAN CCPL LULL LU08 1111 1118 7433 0000, avec mention du titre
6 commentaires:
Anonyme
a dit…
Décidément, voilà un livre qui refuse de chanter "Vous qui passez sans me voir..." et s'attriste du fait que ceux qu'il voit passer se privent du plaisir de le lire.
Enfin cette belle anthologie est arrivée. premier passage entre les pages "Des passantes et des passants". j'y rencontre deux grands lecteurs : Jalel El Gharbi et Giulio Pisani, une artiste vagabonde : Carole Melmoux. J'y retrouve des poèmes en prose ou en vers, aimés. J'en découvre d'inconnus... Pierre Schumacher, dans sa préface, écrit ces mots si justes : "La poésie comme le vent est invisible. On ne sait, tout comme pour le vent, d'où elle vient, où elle va. Ici elle feuillette ces pages rêvées, elle souffre, inspire, expire, respire "dans l'intimité fluide de l'espace" selon la belle formulation de Sohrâb Sepehri. Chaque mot est monade...". Voilà de quoi retenir la passante que je suis par un fil d'encre un peu magique...
6 commentaires:
Décidément, voilà un livre qui refuse de chanter "Vous qui passez sans me voir..." et s'attriste du fait que ceux qu'il voit passer se privent du plaisir de le lire.
Je vous reconnais à votre délicatesse "Anonyme".
Taratata !je ne me priverai pas du plaisir de le lire puisque je l'ai commandé !
Mais c'est très difficile de le commander car le site est un vrai labyrinthe...
Enfin cette belle anthologie est arrivée. premier passage entre les pages "Des passantes et des passants". j'y rencontre deux grands lecteurs : Jalel El Gharbi et Giulio Pisani, une artiste vagabonde : Carole Melmoux. J'y retrouve des poèmes en prose ou en vers, aimés. J'en découvre d'inconnus...
Pierre Schumacher, dans sa préface, écrit ces mots si justes : "La poésie comme le vent est invisible. On ne sait, tout comme pour le vent, d'où elle vient, où elle va. Ici elle feuillette ces pages rêvées, elle souffre, inspire, expire, respire "dans l'intimité fluide de l'espace" selon la belle formulation de Sohrâb Sepehri. Chaque mot est monade...".
Voilà de quoi retenir la passante que je suis par un fil d'encre un peu magique...
Chère Christiane,
Il y a plus d'un fil qui me tient à vous, plus d'une raison pour vous être reconnaissant, chère Christiane.
Amitiés
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