mardi 29 septembre 2015

Edouard-Leon Cortés 1882-1969

6 commentaires:

giulio a dit…

Magnifique, cher Jalel : l'un des sommets de l'impressionnisme !

Jalel El Gharbi a dit…

Oui, cher Giulio. Cette peinture éveille la plus terrible des nostalgies : celle qui nous porte vers ce que nous n'avons pas connu, le Paris d'antan.

X a dit…

Et pourtant, j'ai l'impression, cher Jalel, que si je tendais le bras vers le passé, vers mon passé, je pourrais le toucher ce Paris-là....

Jalel El Gharbi a dit…

Une de ces absences qui prennent l'allure d'une présence immédiate...

Cléanthe a dit…

Une vraie merveille, ce peintre que je ne connaissais pas. Magnifique climat qu'on croit avoir connu, lumière et éblouissement, soirs enténébrés de mélancolie, et la neige qui assourdit les sons...mais alors récurrents dans la plupart des oeuvres, à l'avant plan, avec souvent la foule qui vient vers le peintre, une femme et un enfant...la même...? Où deux fantômes qui hantent ces toiles...Le vrai sujet ?

Jalel El Gharbi a dit…

Ce motif de l'enfant avec sa mère est aussi attendrissant que la chaude lumière que tamisent la nuit, la neige, la pluie (figures du temps qui passe). Tout cela fait de la nostalgie un thème essentiel de cette oeuvre célébrant Paris (rien à avoir avec le spleenétique Paris du XIX)