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mercredi 27 février 2013
Chacun son djihad !
Avec les primes qu'ils perçoivent sur chaque jeune Tunisien envoyé au casse-pipe en Syrie, les cheikhs de l'ignorance financent les études de leurs propres enfants à Harvard ou à Oxford. Chacun son djihad !
Le fils est mort et il n'est plus à plaindre. La machine salafiste, froide, efficace, organisée et insensible, a exploité sa misère, ses frustrations et son désespoir... La mère, submergée par l'ignorance et laminée par les humiliations, a fini par croire que Dieu a besoin de sang et de cadavres et a offert son fils en guise d'offrande, sans verser une larme... Il suffit de quelques passions - la terreur fait l'affaire - de quelques événements funestes et d'un vrai dénouement sanglant...voila la tragédie parfaite!
2 commentaires:
Bravo, Jalel ! Quod erat demonstrandum.
Le fils est mort et il n'est plus à plaindre. La machine salafiste, froide, efficace, organisée et insensible, a exploité sa misère, ses frustrations et son désespoir...
La mère, submergée par l'ignorance et laminée par les humiliations, a fini par croire que Dieu a besoin de sang et de cadavres et a offert son fils en guise d'offrande, sans verser une larme...
Il suffit de quelques passions - la terreur fait l'affaire - de quelques événements funestes et d'un vrai dénouement sanglant...voila la tragédie parfaite!
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